mardi 2 août 2016

Une question sur la présidentielle au Gabon



"M. Ali Bongo ne fait que des discours défensifs, et non des discours constructifs ou démocratiques."

"M. Ali Bongo ne peut se défiler de la situation chaotique que rencontre le Gabon depuis bien longtemps car il en etait acteur parmi tant d'autres d'ailleurs, je ferai une visite  officielle au Gabon quand le Président de la République de ce pays sera élu démocratiquement, l'opposition Gabonaise doit se solidariser sur un même point commun pour arriver à leur but, le Gabon doit être dirigé par un président élu et par leur propre peuple."

François Hollande. 



mercredi 29 juin 2016

Gabon/Sylvia Bongo Ali Ondimba Une affairiste cachée derrière les actions humanitaires (1ère partie)

Appartements, vies séparés, Sylvia et Ali Bongo Ondimba sont ils encore un véritable couple ? Une question qui mérite d'être posée, après que la ‘’Lettre du Continent’’ en date de mars 2013 ait levé le voile sur le lieu de résidence régulier de l’épouse du président gabonais.

Les gabonais découvrent que le couple officiel que forme Ali et Sylvia Bongo Ondimba n'est pas aussi lumineux que l'on voudrait bien nous faire croire. Selon des sources londoniennes confirmées par la ‘’Lettre du Continent’’, ce qui paraissait caché à commencer à luire. L’épouse officielle du président gabonais réside régulièrement en Angleterre, précisément à Londres et ne reviendrait au Gabon que pour faire son ‘’job’’, c'est à dire s’afficher aux côté de ce dernier lors des manifestations publiques. 

La résidence Londonienne de Sylvia Valentin Bongo 

Pour donner une vie digne de son rang à son épouse dans la capitale anglaise, le président gabonais, ‘’il y a quatre ans avait déboursé 25 millions de Livres Sterling pour l’achat de la demeure ‘’Mayfair’’ qui appartenait à l’ancien magnat de l’immobilier, l’Irlandais Derek Quinlan. Cette bâtisse qui compte huit pièces vaudrait aujourd’hui près de 40 millions de Livres. Les photos de la demeure de Sylvia Valentin Bongo montrent à quel point elle est confortable et luxueuse.  Si Sylvia Bongo réside régulièrement à Londres bien loin de son président de mari, on se pose la question : Sont-ils encore un couple ? Ce que nous identifions et appelons involontairement ‘’couple’’ ne serait-il plus que de simples associés et partenaires dans les affaires au Gabon. Il la paie et elle joue à faire l’épouse! 

Qui est réellement Sylvia Valentin épouse Ali Bongo ?


Les gabonais savent-ils que Ali Bongo se présente comme le fruit d’un deuxième mariage de Sylvia Valentin ? Mais que de chemin parcouru depuis 1974 par cette ex-petite française du Gabon !  Levons un petit coin de voile sur cette femme devenue extraordinairement ‘’millionnaire’’ et ‘’First Lady’’ afin de l'apprécier d'avantage. Pour cela, une idée de cette époque a bien voulue donner quelques parts sur sa vie d'avant, le 16 octobre 2009 et avant Ali Bongo.  Il est de notoriété que son père, Edouard valentin dirigeait les assurances ‘’ogar’’ propriété du président Omar Bongo. 

Vers l'âge de 17 ans, Sylvia passait tout son temps à vadrouiller sur une petite moto dans Libreville avec une amie et vivait comme les autres Français installés au Gabon et ne fréquentait pas assidûment les gabonaises et Gabonais ordinaires sauf quelques membres de l'élite au pouvoir.  Sylvia Valentin a toujours eu du flaire dans le choix de ses compagnons de vie, bien loin de la légende écrite pour les gabonais et le monde. 
Elle commencera sa carrière dans l'immobilier au sein de l'agence de Claude Michel Sézalory (aujourd’hui maire de la commune d’Akanda, situé au nord  de Libreville au Gabon) comme simple salariée, puis quelque temps après, elle l'épouse. Ce mariage ne tiendra pas longtemps. Elle le quittera et montera sa propre agence immobilière ‘’ALLIANCE’’ avec la moitié du portefeuille client de Claude Michel sezalory. 

Les fonds pour la création de cette agence viendront de son nouveau mari Ali Bongo qui prendra des parts dans le capital de la jeune agence immobilière. Elle l’a rencontré en 1988. Ils ont eu quatre enfants : Malika (née d’un premier mariage du président), Noureddine, Jalil et Bilal, un orphelin adopté au Maroc en 2003.